De Madrid à Compostela (Mexique): Clientèle et parentèle (xv1e-xv11e siècles)

Thomas Calvo

Resumen


Vers 1550, le chroniqueur et ancien chapelain de Cortés, López de Gómara, affirmait que le Nouveau Monde était aussi étendu que l’Europe, l’Asie et l’Afrique ensemble. C’est une approximation de taille, mais elle donne la mesure des obstacles qu’affrontait, dans l’établissement d’un maillage impérial, la Couronne de Castille. Dans la discontinuité de l’espace océanique, dans l’éloignement de l’espace-temps (près d’un an et demi pour le Mexique, aller-retour; deux ans pour le Pérou), la présence royale pouvait se diluer autrement qu’en Espagne. C’est ce que constatait, à la méme date, l’oidor de Guatemala, Tomás López Medel: “... que en Toledo, Sevilla, Cuenca, Sigüenza, etc, V.A. tenga mal arzobispo, mal obispo, no es nada, la real presencia de V.A. lo suple todo”.


Texto completo:

PDF


DOI: http://dx.doi.org/10.22134/trace.30.1996.703

Enlaces refback

  • No hay ningún enlace refback.


Copyright (c) 2019 Revista Trace

Licencia de Creative Commons
Este obra está bajo una licencia de Creative Commons Reconocimiento-NoComercial-CompartirIgual 4.0 Internacional.

Dirección
CEMCA
Río Nazas 43
Cuauhtémoc
Ciudad de México
C.P. 06500
Revista TRACE CEMCA

ISSN electrónico 2007-2392